Laurent Beauvais - Le blog

La question de Bertrand DELANOE à propos des retraites

Article intéressant dans Le Monde du 13 mai de Bertrand DELANOE : " Retraite à 60 ans... ou chômage à 50 ans ? "

En France nous nous distinguons par un taux d'activité des quinquas bien inférieur à celui d'autres pays européens ! Pourquoi ? Si ce taux augmentait, passait d'un tiers à la moitié, selon Bertarnd DELANOE, une part importante de la question du financement des retraites serait réglée.

Qui s'en soucie ?

Elisabeth ROUDINESCO, Michel ONFRAY, Sigmund FREUD et moi (suite)

Je ne pensais pas que mon billet précédent (accompagné il est vrai d'une réaction de Michel ONFRAY lui-même) serait suivi d'autant de commentaires (Libération, Canard enchâiné...).

Comme beaucoup je pense que nous sommes en présence d'un exercice manifeste d'intolérance et de pensée unique que certains intellectuels excellent à pratiquer dans notre cher pays .
Mon soutien à Michel ONFRAY n'en est que plus conforté !

Elisabeth ROUDINESCO, Michel ONFRAY, Sigmund FREUD et moi !

La polémique (bien française ! ) qui parcourt le milieu intellectuel à la suite de la parution du livre de Michel ONFRAY consacré à FREUD me sidère.
J'ai eu au téléphone en milieu de semaine Elisabeth ROUDINESCO, historienne et universitaire qui publie dans quelques jours un livre intitulé "Mais pourquoi tant de haine ? " ,  accusant Michel ONFRAY d'affabulateur !

Je fus surpris dans ce contact téléphonique des propos d' Elisabeth  ROUDINESCO qui voulait savoir si "vraiment" la Région soutenait financièrement l'Université populaire de Caen qu'a crée Michel ONFRAY et qui me rappellait que ce dernier n'avait aucune qualification universitaire pour contester ainsi FREUD et s'attaquer à elle.
Le Monde de ce jour consacre un dossier à cette querelle sur les "passions freudiennes" .

J'apprécie la liberté de parole de Michel ONFRAY qui, peut- être,  permettra à quelques citoyens non philosophes de découvrir Freud et la psychanalyse .
J'avoue quant à moi, discrétement, que je fais partie de ceux-là .

NIETZCHE en BD par Michel ONFRAY et le dessinateur Maximilien Le ROY

J'ai découvert  par hasard hier dans une librairie parisienne (après ma réunion à la Mutualité) cette BD consacrée à NIETZCHE, réalisée par Michel ONFRAY et le dessinateur maximilien Le ROY (édition Le Lombard).
J'ai bien aimé.

Je ne suis pas un spécialiste de NIETZCHE et je ne connais pas ce dessinateur. Par contre Michel ONFRAY est mon ami et je sais l'étendue de sa connaissance sur le philosophe allemand mais aussi tout ce qu'il lui doit quant à la formation de sa propre pensée et donc à son travail de philosophe.

Cet ouvrage me plaît. Il est didactique et les illustrations de Le ROY sont magnifiques. Bien entendu, il faut un peu connaître la vie et l'oeuvre de NIETZCHE pour saisir le talent des deux auteurs. Les  références  au père pasteur musicien, à SCHOPENHAUER, à WAGNER, à sa soeur Elisabeth, à LOU, à Venise ou bien encore à Nice et à BIZET sont autant de clefs rapidement mises sur le papier pour saisir le drame intérieur de ce philosophe génial .
Les illustrations, nombreuses, de la solitude douloureuse de NIETZCHE dans ses nuits ou ses moments de travail et de la naissance de sa démence, sont superbes .
Et puis je retrouve Michel ONFRAY à plusieurs reprises dans le texte, mais ceci je le garde pour moi.

MERCI !

Un merci aux élus, aux acteurs du développement, aux responsables associatifs, aux jeunes, bref à tous les citoyens qui sur tous les territoires se sont mobilisés avec ardeur et confiance.

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Rassemblement

La liste du rassemblement que je mène pour le 21 mars : "La Gauche solidaire, innovante et écologique"

Les Echos n° 20631 du 09 Mars 2010 • page 18

Dans le cahier spécial des Échos : L’AUDIT DES REGIONS • L’AUDIT DES REGIONS 2010, Philippe Legueltel, le correspondant des Échos pour la Basse-Normandie, écrit dans le  n° 20631 du 09 Mars 2010 • page 18 :

L’industrie résiste en montant en gamme

L'équipe sortante a misé sur l'innovation, le soutien aux grands équipements de recherche et l'emploi. Mais il aura fallu pour cela augmenter substantiellement les impôts. L'opposition critique la faiblesse des investissements et leur saupoudrage.
En arrivant à la tête de la région, en 2004, Philippe Duron (PS) avait promis de faire passer le budget recherche et innovation de 2 % du budget régional à 5 % en 2010. Avec 4,68 % (30 millions d'euros), l'objectif est presque atteint. « C'est un enjeu fondamental pour le développement et l'attractivité du territoire bas-normand », reste persuadé Laurent Beauvais, successeur de Philippe Duron en 2008. Autour du Ganil (Grand Accélérateur national à ions lourds) du CHU ou de la plate-forme Cyceron, au nord de Caen, les équipes de recherche sont nombreuses, tout comme les projets. « C'est positif, admet Philippe Augier, tête de liste UMP dans le Calvados, mais insuffisant et surtout cela manque de visibilité. »
Si, depuis 2004, le budget (739 millions en 2010) a progressé de 48 %, la collectivité a maintenu ses dépenses d'investissement autour de 200 millions par an (soit + 0,6 % sur la période 2004-2010). « L'équipe sortante a échoué, la priorité n'a pas été donnée au développement économique qu'elle n'a pas accompagné. L'investissement a même chuté par rapport à 1998-2004. Et, trop souvent, cela a été du saupoudrage », critique Philippe Augier.
Candidat à sa propre succession, Laurent Beauvais conteste le jugement, estimant que l'on pourrait même intégrer une partie du fonctionnement à l'investissement quand il s'agit, notamment, de formation. Avec un taux de chômage de 8,7 % en 2009 (8,4 % en 2004), la Basse-Normandie (1,46 million d'habitants) a voulu aider l'emploi, au-delà de son aide traditionnelle à la formation professionnelle et à l'apprentissage, par la mise en place des emplois-tremplins. Ceux-ci, accompagnant les associations d'utilité sociale dans leurs projets de développement, restent très critiqués. Seulement 500 emplois de cette nature ont ainsi été créés depuis 2005. « Ce sont des emplois aidés sur quatre ans, mais quid de leur pérennisation à l'issue de cette période ? Or, ils devraient être proposés dans les entreprises qui créent de la richesse et qui ont les moyens de les pérenniser », proteste Philippe Augier.
« Volontarisme territorial »
Tous ces efforts n'ont pas été sans conséquences sur l'évolution des taux de fiscalité (+ 31,3 % entre 2005 et 2009) et sur les dépenses de fonctionnement (+ 65 % de 2005 à 2009). Soulagement pour la région, l'agence Fitch Ratings vient de délivrer un AA+ à la région, soulignant les « très bonnes performances budgétaires de la Basse-Normandie, sa capacité d'autofinancement élevée et son faible niveau de dette ».
Dans son soutien, depuis 2005, aux pôles de compétitivité (la Basse-Normandie en compte quatre dont deux en commun avec d'autres régions) ainsi qu'aux filières qu'elle a souhaité structurer, la collectivité a tenu, illustration de son « volontarisme territorial », à accompagner de grands projets industriels privés. Près de 20 millions d'euros ont été engagés, de NXP, aux portes de Caen, à Faurecia, aux portes de Flers (Orne). « Avec ce dernier projet, la région est intervenue à la fois sur le développement économique, l'offre de formation et l'apprentissage », souligne Laurent Beauvais. Ce que l'opposition ne conteste pas.
 

Martine Aubry et la Basse-Normandie

Quelle joie ce matin d’entendre sur les antennes de France Inter, Martine Aubry interviewée par Nicolas Demorand, citer à nouveau en exemple nos actions [Téléchargement Aubry-France Inter-100310].
Son passage en Basse-Normandie a eu un retentissement national. Je souhaite la remercier vivement de son soutien. Après le 20h de France 2 le 8, France Inter ce matin et les nombreux articles de la presse nationale, voilà notre Région grâce à elle sur le devant de la scène.

Martine Aubry cite en exemple une action de la Région Bassse-Normandie !

Invitée du journal de 20h lundi 8 mars sur France 2, Martine Aubry parle des Régionales.
Elle cite en exemple les centres médicaux soutenus par la Région dans les quartiers défavorisés ou les zones rurales désertifiées de Basse-Normandie.
Je veux rappeler que ces centres ont pour objectif de faciliter l’accès aux soins pour les habitants et de développer une action de prévention de proximité.

Voir l'entretien [http://www.youtube.com/watch?v=fWs7FmqxaBE

Riléra, Volatile et Cabriole élues au premier tour de scrutin, nouvelles reines du salon de l’agriculture. A chacun son élection !

Grande satisfaction ce matin à la lecture du palmarès du salon de l’agriculture dans la presse. La Normandie et l’un de ses territoires les plus emblématiques, le Cotentin, sont une nouvelle fois à l’honneur.
A une semaine du premier tour des élections régionales, il y a au moins trois compétitrices qui vont envisager sereinement le printemps. Pas besoin de second tour pour Rilera, magnifique vache normande domiciliée à Equeurdreville-Hainneville, Cabriole et Volatile domiciliées, elles, à Saint-Sauveur-le-Viconte. Ces trois « candidates » ont réussi leur grand oral à Paris. 
Conjuguant productivité laitière, bonne valorisation fromagère et qualité bouchère, les vaches normandes sont à l’image de leur terroir d’origine, elles sont excellentes dans tous les domaines. 
Bravo à ces éleveurs qui font briller la Normandie. Bravo à ces agriculteurs qui continuent de s’investir dans leur passion dans un contexte particulièrement difficile. 
La scène que représente le salon de l’agriculture est très belle, pour autant, on ne doit pas oublier que derrière les paillettes il y a toute une profession qui connaît une crise sans précédent et qui attend des réponses urgentes. 
Parties trop tôt du salon pour avoir «la chance» de rencontrer un Président de la République qui les a un peu snobées, elles se consoleront en apprenant qu’ici toute une filière compte sur elles pour préparer l’avenir.

 
Benoit Duquesne si fier de Riléra