Le 20 janvier, j’ai rencontré les dirigeants et les représentants des salariés notamment M. Wu, le P-DG et Mme Lemazurier, la secrétaire du comité d’entreprise de
Spécialisée dans l’élaboration de contreplaqué, Plysorol a connu ces derniers temps de nombreuses difficultés : redressement judiciaire, reprise et enfin interdiction de l’exportation depuis le Gabon, du bois Okoumé, sa principale ressource.
Avec ce déplacement, j’ai souhaité avoir des précisions et des éclaircissements sur l’avenir de l’entreprise dont la situation reste délicate et est suivie par les services de la Région.
Avec le dirigeant de l'entreprise et mes collègues, Corinne Féret et Laurent Sodini.
Bonjour,
vous trouverez la revue de presse complète de plysorol à l'adresse : http://infoply.wordpress.com
Rédigé par : Infoply | 25 janvier 2010 à 08:50
ET OUI JE SUIS ENCORE EN VIE AVEC BEAUCOUP DE POINTS SUR LES JAMBES VICTIME D UN ACCIDENT DU TRAVAIL A OTOUMBI SUR LE SITE D EXPLOITATION POUR LEROY GABON JE SUIS A L ABANDONT DANS UN CENTRE DE REEDUCATION DE LA REGION DE BORDEAUX LA TOUR DE GASSIES DEPUIS 2000 EN SEPTEMBRE QUE JE TRAVAILLE POUR LE GROUPE PLYSOROL J AI SORTI DU BOIS DE LA FORET DES ABEILLES QUELQUES BILLES VOUS AVEZ DU RECEVOIR DE GONGUE ET DE OTOUMBI ET OUI DEPUIS LE 23 01 2009 J AI DES BESSURRES AUX JAMBES SANS POUVOIR UN JOUR BIEN REMARCHER ON NOUS JETTE COMME DES MOIN QUE RIEN VIVE LE PERIL JAUNE LE VOL DE CETTE FORET QUI A ENCORE BEAUCOUP DE BOIS ME FAIT MAL SURTOUT POUR ETRE FABRIQUE QUE PAR DES JAUNE CAR VOUS POUVEZ DEJA DIRE ADIEU A VOS EMPLOIS CONTACT AU 0621768448
Rédigé par : PEYTOUT GUY | 02 mars 2010 à 18:21
Mr Bauvais,
Encore une fois ,je vous informe que nous ne savons plus quoi faire les salariés se sentent abandonés ,impuisants face à la mort probable de notre entreprise .Nous sommes maintenant privés de remboursements de notre mutuelle .Qui va prendre ces frais médicaux à sa charge , la région ?
Nous ne comprenons pas pourquoi nos politiques ,nos Elus de Régions préferent laisser ces patrons voyoux continuer leurs massacres tranquillement .
Si cela dure il n-y aura plus rien à sauver
452 salariés qui mouront socialement sans que personne n'aura levé le petit doigt.
Rédigé par : salariée de plysorol | 11 mars 2010 à 21:16