J'ai demandé au Préfet de région il y a quelques jours, de réunir sans délais le comité de pilotage du Paris-Granville qu'il doit présider au titre des propositions faites par D. Bussereau en Avril à CAEN.
On se félicite (moi le premier) du courrier reçu il y a quelques jours affichant un réel processus à propos du TGV Normand. Mais je crois qu 'il ne faut pas oublier un dossier urgent : celui du Paris-Granville. Il y a eu tant de problémes en juillet !
Le département de l'Orne ne figurera pas dans le comité de pilotage de la LGV normande définit par le ministre Bussereau. Aussi il ne faut pas oublier les attentes de l'Orne mais aussi du sud Calvados et du sud Manche. J'y tiens tout particulièrement. Je ne veux pas que l'on oublie que l'objectif est l'électrification. Je ne veux pas que l'on néglige la problématique du Mont St Michel (le Président de la république va bientôt y venir et je le rappellerai). Je veux enfin qu'avec CAEN-TOURS on parle fret et que la liaison TGV Alençon-Le Mans soit prise en compte comme je l'ai promis à Alençon en présence de Jacques Auxiette.
C'est toute la cohérence du plan régional Rail 2020. J'ai pu constater que d'autres Régions en faisaient autant. Il faut forcer les choses et bouger les lignes. On nous annonce un grand emprunt, il faut que le ferroviaire en Normandie en profite.
Le TGV mais à quel prix : Alençon-Paris par Surdon 28,40 € mais par le Mans avec TGV, 41,30 € voire 56 € suivant l'heure, soit de 50 % à 100 % de plus sans compter les quota de places 12/25, vermeille... et le risque que le train soit plein donc être obligé de prendre le suivant. Donc, malgré le risque de voyager debout et d'arriver avec 1 h de retard, je ne passe JAMAIS par le Mans pour aller à Paris.
Rédigé par : raleur | 12 août 2009 à 17:55