Je prends connaissance des résultats de l’étude sur les OGM menée par Gilles-Eric Séralini, chercheur à l’université de Caen. Le travail de ce chercheur et de son équipe vise à démontrer les risques pour la santé humaine du maïs OGM NK 603 et de l’herbicide Roundup produits par Monsanto. Ils ont dû travailler dans le secret absolu, pour éviter d’être espionné comme cela avait été le cas en 2007. Les résultats de leur étude devront être confrontés et comparés à ceux d’autres études.
Au même moment, mon ami François Dufour m’annonce que, suite au jugement de la Cour d’appel de Poitiers, il doit payer une somme de plus de 40 000 euros pour avoir participé, avec José Bové et ses « faucheurs volontaires », à la destruction de champs d’expérimentation d’OGM. François a tout mon soutien !
La cause plaidée par les « faucheurs volontaires » rejoint ainsi le travail du chercheur Gilles-Eric Séralini : les uns comme les autres pointent les incertitudes et possibles risques qui entourent les OGM, et que la recherche scientifique doit s’appliquer à déterminer.
Tout cela alors que, en un mois, près d’Argentan, les sangliers ont ravagé 11 hectares de champs de maïs (non OGM). Les agriculteurs se plaignent (à juste titre) d’un excès de population de l’animal.
En somme, j’ai envie de dire : chassez les sangliers, pas José Bové ! Et surtout écoutons les chercheurs et finançons les pour assurer leur indépendance .
Au même moment, mon ami François Dufour m’annonce que, suite au jugement de la Cour d’appel de Poitiers, il doit payer une somme de plus de 40 000 euros pour avoir participé, avec José Bové et ses « faucheurs volontaires », à la destruction de champs d’expérimentation d’OGM. François a tout mon soutien !
La cause plaidée par les « faucheurs volontaires » rejoint ainsi le travail du chercheur Gilles-Eric Séralini : les uns comme les autres pointent les incertitudes et possibles risques qui entourent les OGM, et que la recherche scientifique doit s’appliquer à déterminer.
Tout cela alors que, en un mois, près d’Argentan, les sangliers ont ravagé 11 hectares de champs de maïs (non OGM). Les agriculteurs se plaignent (à juste titre) d’un excès de population de l’animal.
En somme, j’ai envie de dire : chassez les sangliers, pas José Bové ! Et surtout écoutons les chercheurs et finançons les pour assurer leur indépendance .
Tout simplement "bravo" pour ce commentaire, 40 000 euros pour
nous avoir protégé c'est pas bien
beau tout çà !!!!
Rédigé par : Evariste | 22 septembre 2012 à 21:33