C'est un sentiment de honte que je ressens ce matin deux jours après la "réouverture" du site de Nonant le Pin .
Les propos tenus hier par le directeur général de l'entreprise sur France bleue ( il ne cite pas la fermeture de 60 postes à Roquancourt ni les dépôts de déchets illégaux ) , l'installation d'un mur de béton à l'entrée du site , le coût de la présence des forces de l'ordre , le silence des autorités politiques nationales, constituent des faits qui me donnent soudainement un sentiment de honte et de crainte d'un dérèglement grandissant de notre vie sociale et politique .
A qui la faute ?
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