J'ai compris dans les propos de Michel Onfray tenus dans Ouest France ce jour qu 'il n'était pas toujours satisfait de la réaction des "politiciens " ou de leurs "administratifs ", face à ses propositions ou idées qui marquent son attachement indéfectible à Argentan , à l'Orne et à la Normandie .
Il n'a pas complètement tort mais chacun doit assumer sa part de responsabilité . Beaucoup a été fait depuis plus de dix ans par les élus ( plutôt de gauche d'ailleurs ) pour accompagner ses projets . Je lui reconnais talent , fidélité et persévérance . Je lui concède aussi qu 'à propos de Fernand Léger la municipalité d'Argentan , à laquelle j'appartiens depuis 1989 , n'a pas su valoriser cette maison d'enfance de l'artiste qui est évoquée dans l'article cité .
Mais rien n'est peut être définitivement perdu ...
C'est l'unique conseiller municipal d'Argentan qui ici peut parler sans crainte de mesures de rétorsions de toutes sortes à son égard, y compris sanctions financières prétend-t-on. Très bien. Mais comment expliquer qu'aucun aucun autre conseiller municipal n'ose à Argentan prendre le risque de s'exprimer ? Ils sont pourtant (théoriquement) à égalité de droits. Ou bien sont-ils moins égaux en droits que le citoyen conseiller municipal Beauvais ? Là est la question qui se pose à notre insignifiante et craintive démocratie municipale argentanaise. Où peut donc s'en cacher la raison ?
Rédigé par : doyennel calaude | 18 août 2013 à 12:18